

Kin na ngai in Lingala,Congolese language, means 2 things, Kinshasa and Me or My Kinshasa... That's what it's all about, Me, my Country, my City, and more... Enjoy! B.
Instrumentalisant la mémoire de la Shoah, ils s'autoproclament victimes d'un génocide au Rwanda. Pourtant, en 1994, ils ont assassiné deux chefs d'Etat africains, des milliers de Rwandais ainsi que des témoins français, espagnols et canadiens. Ils sont aussi soupçonnés d'avoir froidement abattu les parents du chanteur Corneille. En 1997, ils envahissent la République Démocratique du Congo (RDC) où ils exterminent des milliers de réfugiés hutu. Bénéficiant de l'impunité, ils torturent et violent les femmes à l'Est de la RDC et massacrent plus de 6 millions de Congolais chez eux. Appuyés par des puissances étrangères, ils pillent massivement les ressources minières de la RDC pour les vendre à Kigali. Ces mercenaires de l'horreur ont un nom : les extrémistes tutsi du Rwanda. Soutenus aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne, en France, en Belgique ainsi que par des multinationales, ils sont devenus les sous-traitants officiels d'une mondialisation sanguinaire en Afrique Noire. A l'instar du ministre français Bernard Kouchner qui soigne ses relations avec le régime tutsi de Kigali et de l'ancien Premier ministre britannique Tony Blair, devenu "conseiller bénévole" du dictateur Paul Kagame, le commissaire européen Louis Michel compte désormais parmi leurs soutiens les plus actifs au sein de l'Union Européenne. L'enquêteur Charles Onana, qui a obtenu de nombreux documents confidentiels de l'Union Européenne et des rapports de la CIA, révèle que, depuis 2005, le président de la RDC Joseph Kabila, serait disposé à partager les richesses de son pays avec le Rwanda ; une curieuse idée émise également par le chef de l'Etat français Nicolas Sarkozy en 2009. Ce document exceptionnel raconte aussi comment l'uranium du Congo a servi à fabriquer la bombe atomique américaine en 1942 et comment le gouvernement américain a formé des extrémistes tutsi pour déstabiliser l'Afrique Centrale sous le regard complaisant de la communauté internationale et des "grandes démocraties". | |
Le sexe de l'homme noir
Par Mathieu, mercredi 31 janvier 2007 à 05:46 :: Coup de gueule :: Lien permanent
Parmi les légendes les mieux établies, il y a celles qui se rapportent au sexe des Noirs, qu’on dit démesuré, et à leurs prouesses sexuelles présentées comme inépuisables. Racisme, que tout cela ! Car, affirmer que les Noirs ont un sexe surdimensionné, c’est proclamer, en même temps, qu’ils sont plus proches des bêtes que des êtres humains. Mais, la curiosité aidant, cette légende a produit des effets, c’est-à-dire des enfants indésirables!
"Au fil des siècles, on a doté les Noirs d’un pénis en guise de cerveau". Le savant grec Hérodote affirmait déjà que l’Africain "copule en public comme les bêtes" et que sa semence est noire. Romains, Arabes, juifs, chrétiens, Chinois… tous ont infériorisé les Noirs.
L’origine la plus significative du préjugé de la taille du pénis remonterait à la malédiction biblique des descendants de Cham, qui avait surpris son père Noé tout nu. "Les premiers théologiens ont expliqué que Cham avait abusé sexuellement de son père. Et que, pour punir le fautif, la descendance de son fils Canaan aurait été condamnée à l’esclavage. Elle aurait aussi la peau noire et un pénis ‘ignominieusement’ long."
Grands négriers, les Arabes ne sont pas en reste. "Ils racontaient que les Noirs étaient responsables de leur état d’esclaves puisque leur débauche sexuelle les empêchait de se défendre." Dans les colonies d’outre-mer, au XVIIIe, le préjugé sexuel, "frère jumeau du préjugé de couleur", a aussi servi à justifier l’asservissement des Noirs.
Ces légendes ont bien sûr suscité les fantasmes les plus fous. Les confidences d’une Européenne au sujet de ses ébats avec son esclave de Saint-Domingue sont éloquentes: cette "classe d’hommes" ne dit rien et fait beaucoup, affirmait-elle. Contrairement aux Blancs, ces "amants musqués, faibles et délicats", qui parlent beaucoup mais font peu.
Le témoignage d’un escort boy Noir est éloquent. Certaines Blanches, dit-il, attendent de lui une vigueur inhabituelle, qu’il soit "bestial". "Naturellement, je joue le jeu, dit-il".
Il faut reconnaitre que certains noirs alimentent cette légende en utilisant divers moyens pour agrandir leur sexe.
Femme noire, femme africaine,
Ô toi ma mère, je pense à toi
Ô Dôman, ô ma mère, toi qui me portas sur le dos,
Toi qui m'allaitas, toi qui gouvernas mes premiers pas,
Toi qui, la première, m'ouvris les yeux aux prodiges de la terre,
Je pense à toi...
Femme des champs, des rivières, femme du grand fleuve,
Ô toi, ma mère, je pense à toi...
Ô toi Dâman, ô ma mère, toi qui essuyais mes larmes,
Toi qui me réjouissais le coeur, toi qui, patiemment,
supportais mes caprices,
Comme j'aimerais encore être près de toi, être enfant près de toi !
Violées, torturées, massacrées... En République démocratique du Congo, les femmes vivent depuis plusieurs années un interminable cauchemar sur fond de guerre civile. Reportage Caroline Laurent. Photos Jane Evelyn Atwood.
Source: http://www.elle.fr/elle/societe/les-enquetes/ici-la-vie-d-une-femme-ne-vaut-rien/les-congolaises-face-a-la-barbarie/(gid)/829069
Légende : A l’hôpital de HEAL Africa au Nord-Kivu, spécialisé dans les soins aux victimes de violences sexuelles : des femmes, jeunes et vieilles, mais aussi des enfants et de jeunes garçons.
Source: http://www.elle.fr/elle/societe/les-enquetes/ici-la-vie-d-une-femme-ne-vaut-rien/impunite-quasi-totale/(gid)/829159
Légende : Un camp de réfugiés près de Goma, sur la route de Massissi. Les combats de novembre et de décembre dernier ont jeté sur les routes 250000 personnes.
Ngbandi, gbandi, bandi ou mobandi ; le peuple Ngandi est un groupe ethnique d’origine soudanaise se situant principalement en République centrafricaine (RCA) et en République démocratique du Congo (RDC/ Zaïre).
En RCA, ils sont appelés ‘les sango ’. La langue de ce peuple est le ngbandi ou le sango (dénomination centrafricaine du ngbandi qui est parlé de manière vehiculaire et dont la forme est simplifiée). Ce peuple est également présent, mais en petit nombre dans le sud-est du Cameroun, le Congo-Brazzaville et au sud-ouest du Soudanais.Certains linguistes préfèrent désigner cette langue sous la dénomination Sango-Ngbandi-Yakoma. En fait le Sango est la forme simplifiée du ngbandi en Centrafrique.
Le yakoma, c’est le terme par lequel les centrafricains désigne les ngbandi dont la langue vernaculaire est le ngbandi.
Mais alors pourquoi appellent-ils les Ngbandi Yakoma ?
En fait, le peuple ngbandi se trouve de part et d’autres de la frontière centrafricaine. Ils se situent donc en Centrafrique où on les appelle Sango et en République Démocratique du Congo (ex Zaïre) où on les appelle simplement Ngbandi. Exactement comme les basques qu’on retrouve dans le sud-ouest de la France et dans le nord-ouest de l’Espagne ou encore les savoyards que l’on retrouve à la fois du côté Suisse et du côté français.
Ce peuple originaire de la haute Égypte et de la Nubie occidental (sud-ouest des clans de Napata), a, dit-on, migré vers le sud en quête d’une nature plus généreuse et fuyant aussi les razzias de négriers arabes.
Danses et Folklores
C’est au contact des peuples environnants, mais aussi contact pendant leur migration vers le centre de l’Afrique, que les Ngbandis ont enrichi leur culture. Aujourd’hui ils gardent encore des chants et des danses folkloriques tels le Gbaduma et le Lenge.
Les Ngbandis sont réputés pour leur danse, le ‘Gbaduma’, danse qui a le mérite de faire vibrer le corps. En effet très “saccadée” et physique, elle se danse en agitant le dos et le bassin aussi. Cette danse fait d’ailleurs penser à des danses folkloriques de plusieurs peuples au Cameroun d’ailleurs.
L’autre danse ‘Le Lenge’, qui à quelques exceptions près le contraire du ‘Gbaduma’, est beaucoup moins physique. Sa particularité est qu’il se danse avec des hochements de tête et des épaules en avançant avec des petits pas en avant et en arrière et puis à gauche et à droite.
Culture
Les Ngandis vivent de la pêche et de la culture de granulés tels le millet, le sorgho, le maïs etc. Ils côtoient d’autres peuples d’origine soudanaise qui vivent en Haute Egypte aussi tel les Alurs, les Lugbara (soudanais orientaux) et d’autres part les Zandé, les Nzakara, les Boa les Gbagiro, les Gbanziri, les Mono, les Gbaya, les Banza.
Les Ngandis ont, par le passé travaillé le fer avec lequel ils faisaient des marmittes et des récipients destinés aux ornements et utilitaires. D’ailleurs, ils vivent maintenant depuis plus de trois cent ans en Haute Egypte.
La Haute-Egypte est symbolisée par la couronne blanche, le lotus, le lys et le roseau. Elle est protégée par la déesse vautour Nekhbet.
La Basse-Egypte a pour emblèmes la couronne rouge, le papyrus et l'abeille. Elle est gardée par la déesse cobra Ouadjet.
La Méthode de Guérison de l'Ancienne Egypte permet de rentrer en contact avec l'Energie puissante et subtile de la Connaissance de l'Egypte Ancienne et de recontacter ses mémoires en tant qu'Initié.C'est l'ancien royaume Kongo qui se situait sur la côte atlantique entre le nord de l'Angola et le sud du Gabon. Ainsi le nord Ouest de l'Angola, le sud Ouest de l'ex Zaïre, l'Enclave du Cabinda, l'Ouest du Congo-Brazzaville et le Sud Ouest du Gabon font partie de ce territoire. Nous ajouterons que des villes comme Soho, Uige, Mbanza Kongo (ou San Salvadore), Matadi, Boma, Kinshasa, Brazzaville, Mouilla, Tchibanga, Pointe-Noire, Moanda font partie de ce territoire. C'est le pays du petrole, des forêts et de l'océan.
Ce royaume est florissant au XIVème siècle. Il est dirigé par le Roi Nzinga Nkuvu quand l'explorateur Portugais Diego Câo arrive à l'embouchure du fleuve Kongo en 1493. De là va commencer une grande coopération entre ces deux peuples. Ils s'échangeront même des ambassadeur et fera de ce royaume le premier territoire chrétien loin de l'Europe. Cela se traduit par des baptêmes, par l'envoie des missionnaires et d'un ambassadeur au Vatican. Il s'appellera Massala Mavungu, le neveu du roi.
Mgr Enrique sera le premier évêque noir de ce royaume. Il sera aussi l'Évêque de San Tomé Principe. Cette rencontre avec l'Occident va précipiter la chute de ce royaume aussi. Les Portugais, par une politique assez bizarre, souffle le chaud et le froid. Des explorateurs vont exploiter ces territoires d'une part et le défendre contre des royaumes voisins d'autre part.
Ayant un peu trop fait confiance au Portugal, le monarque va perdre son pouvoir au fur et à mesure que le Portugal va étendre son Royaume. Ainsi quand arrive 1885, la date du partage de l'Afrique, à la Conférence de Berlin, le royaume n'est plus unie. D'une part au Sud, le roi du Duché de Ngola proclamera l'indépendance de son territoire. Le nom Angola y trouve ses origines. Dans le centre du royaume, le Portugal va demander aux rois de Loango, du Ngoyo et du Kakongo d'accepter sa protection. Cela va provoquer la création du Cabinda, appelé aussi le Koweït africain (à cause de son pétrole). Après la conférence de Berlin, ce territoire va aider la Belgique à offrir un territoire de chasse à son monarque, le roi Léopold II. Ce pays s'appellera le Zaïre. En d'autres mots, ce royaume sera dépiécé en 4 pays, l'Angola, le Zaïre, le Congo et le Gabon.
La langue Kongo
Cette population a une langue, très riche. Cette langue est de souche Bantoue, elle est proche des langues comme le Xhosa, le Zouloue, le Soto, au Souto, Swazi … Elle emprunte certaines expressions des langues portugaises. Elle est langue nationale en Angola, on peut à l'occasion l'écouter sur Radio Luanda. Elle fait partie des 4 langues nationales ans l'ex Zaïre. Au Congo-Brazza, elle est une des 2 langues nationales. C'est une langue très riche et dispose de certaines ressources didactiques entretenue par des missionnaires Belges, Portugais et Français. On peut même trouver des missionnaires américains, anciens d'afrique qui parlent mieux cette langue que nous ne-kongo de la diaspora.Le mythe de créationOn raconte qu'à l'origine du monde, Dieu commença par créer l'univers, les eaux, mers et forêts. Ensuite, il peupla la forêt des animaux féroces et moins féroces, la mer des poissons immenses et petits. Il pensa que la forêt seule ne suffisaient pas. Il pensa à la savane. Il le fit. Il se dit qu'il manquait quelque chose pour orner la nature. Il pensa aux étoiles, à la lune et au Soleil. Puis il dit qu'il manquait quelque chose. Il créa l'humain. C'était une femme.
Il l'appela Mavungu.
Il lui recommanda de ne pas contourner une espèce d'arbre, car cet arbre était celui du bien et du mal.
Mavungu, très curieuse décida un jour de désobéir. Elle contourna à l'arbre de la vie et de la mort. Elle se vit transformer. Elle était diviée en deux.
Mavungu se transforma en deux êtres, l'homme et la femme. Mais la femme, elle avait neuf (9) seins.
Dieu lui dit, que c'est les 9 clans du pays Kongo.
Source: http://harykin.blog4ever.com/blog/articles-147921-144993.html
A tata Kongokongo,
Nos ancêtres ne donnaient pas à leurs enfants le noms au hasard. Car dans la signification du nom attribué, il y a un sens social, sens spirituel, un sens psychologique. Le nom, chez les kongo, notamment, influe sur la personne tout au long de sa vie dès son enfance.
C’est pourquoi, outre l’éducation familiale et la position dans son clan et sa familial, l’enfant de par son nom, forge sa personnalité au tour de tout l’environnement socio-culturel. Les catholiques au cours de la colonisation, baptisaient les noms des saints qui sont leurs ancêtres dont l’objectif était de nous faire oublier cet élément essentiel, la pérennisation de nos patrimoines culturels, notre environnement social, culturel, cultuel, psychologique afin de nous détacher de nos ancêtres.
Léopold II et Jules Renkin l’avaient bien appris aux prêtres en partance pour le Congo. "Vous ne leur enseignerez pas Dieu. Ils le connaissent déjà. Ils savent que voler, tuer est mauvais... Intéresserez-vous aux Jeunes, car les vieux seront difficiles à convaincre. Ceux-ci trépasseront bientôt. Et il faut faire oublier aux jeunes leur propre culture transmise par les vieux afin que leur conscience soit tournée vers la nouvelles civilisation..."
Voici donc comment nous avons été forgés et façonnés par la conscience chrétienne qui nous a appris que les noms de nos ancêtres sont sataniques, diaboliques et conduisent à l’enfer. Seuls les prénoms des Saints conduisent au ciel. D’où les prénoms : Simon, Pierre, Jean, Marie, Paul, Thomas, Christoph, Marc etc pour l’ensemble judéo-chrétiens et qui nous ont fait oublier nos propres valeurs, donc notre personnalité et notre identité.
Mfumu’a Nlaza ne Kongo
http://www.africamaat.com/spip.php?page=comment&id_article=85